Le diabète est une maladie chronique incurable causée par une carence ou un défaut d'utilisation de l'insuline entraînant un excès de sucre dans le sang. Produite par le pancréas,
l’insuline est une hormone qui permet au glucose (sucre) contenu dans
les aliments d'être utilisé par les cellules du corps humain. Les
cellules disposent de toute cette énergie dont elles ont besoin pour
fonctionner.
Si l'insuline est insuffisante ou si elle ne remplit pas son rôle adéquatement, comme c'est le cas dans le diabète, le glucose (sucre) ne peut pas servir de carburant aux cellules. Il s'accumule alors dans le sang et est ensuite déversé dans l'urine. À la longue, l’hyperglycémie provoquée par la présence excessive de glucose dans le sang entraîne certaines complications, notamment au niveau des yeux, des reins, des nerfs, du cœur et des vaisseaux sanguins.
À ce jour, la cause réelle du diabète demeure inconnue. Nous savons toutefois que certains facteurs peuvent influencer l'apparition du diabète : hérédité, obésité, grossesse, certains virus ou certains médicaments.
Le fardeau économique et social du diabète est énorme. Il est estimé à près de trois milliards de dollars par année, en coûts directs et indirects à l’ensemble de la société québécoise.
Nous savons que les peuples autochtones, les latino-américains, les asiatiques et les populations d'origine africaine semblent développer la maladie plus que les autres. Une prédisposition génétique, un surplus de poids et le manque d'activité physique contribuent à l'apparition d'un diabète de type 2. Cependant, certaines études tendent à démontrer qu’une alimentation en trop grande quantité et riche en gras pourrait aussi être un facteur de risque.
Le diabète de type 2 est le type le plus sournois. Les symptômes peuvent être minimes et passer inaperçus pendant plusieurs années. Malheureusement, quand il est diagnostiqué, le mal est fait.
En apportant des corrections importantes à nos habitudes de vie, il est possible de retarder l'apparition de la maladie et d'en diminuer l'impact.
Le diabète gestationnel (4 à 6 % des grossesses) affecte à la fois le bébé et la mère. L'enfant risque d'être plus gros que la normale et risque de faire un diabète plus tard. Chez la mère, la présence du diabète accroît les risques d'infections, augmente le niveau de fatigue et peut causer des complications lors de l'accouchement.
Le diabète de grossesse se traite et se contrôle par une saine alimentation, et l'adoption d'une bonne hygiène de vie. Si, malgré ces changements, le diabète n'est pas bien contrôlé, l'utilisation d'insuline deviendra nécessaire car l’emploi d’antidiabétiques oraux est contre-indiqué lors d’une grossesse.
De telles mesures sont lourdes mais très rentables à long et moyen termes si appliquées à toute une population. Des conséquences secondaires positives concerneront de plus l’obésité, les maladies cardio-vasculaires et certains cancers d'origine socio-environnementale.
Chez les patients ayant déjà développé un diabète, divers moyens existent d'en diminuer les impacts :
Méthode de traitement naturel
Si l'insuline est insuffisante ou si elle ne remplit pas son rôle adéquatement, comme c'est le cas dans le diabète, le glucose (sucre) ne peut pas servir de carburant aux cellules. Il s'accumule alors dans le sang et est ensuite déversé dans l'urine. À la longue, l’hyperglycémie provoquée par la présence excessive de glucose dans le sang entraîne certaines complications, notamment au niveau des yeux, des reins, des nerfs, du cœur et des vaisseaux sanguins.
À ce jour, la cause réelle du diabète demeure inconnue. Nous savons toutefois que certains facteurs peuvent influencer l'apparition du diabète : hérédité, obésité, grossesse, certains virus ou certains médicaments.
Les coûts
Le nombre grandissant de cas entraîne de lourdes conséquences pour la société, surtout si l’on considère que 40 % des personnes diabétiques présenteront des complications débilitantes, voire mortelles. Le diabète est l’une des principales causes de cécité, d'amputations non-traumatiques, d'insuffisance rénale et un facteur important de maladies cardiovasculaires et d’accidents vasculaires cérébraux.Le fardeau économique et social du diabète est énorme. Il est estimé à près de trois milliards de dollars par année, en coûts directs et indirects à l’ensemble de la société québécoise.
Les types de diabète
Il existe deux types principaux de diabète : le type 1 et le type 2. Parfois, le diabète se développe aussi pendant la grossesse (diabète gestationnel).Le diabète de type 1
Le diabète de type 1 se manifeste soit dès l'enfance, à l'adolescence ou chez les jeunes adultes. Il se caractérise par l'absence totale de la production d'insuline. Les personnes diabétiques de type 1 dépendent d'injections quotidiennes d'insuline pour vivre. Il est présentement impossible de prévenir ce type de diabète. Les recherches s'effectuent principalement vers la compréhension des mécanismes détruisant les cellules responsables de la production d'insuline.Le diabète de type 2
Le diabète de type 2 se manifeste beaucoup plus tard dans la vie, généralement après l'âge de 40 ans. La très grande majorité des personnes atteintes de diabète présentent ce type de diabète (90 % des cas). Depuis quelques années, on remarque que ce diabète apparaît plus tôt et chez certaines populations à risque. Il peut apparaître dès l'enfance.Nous savons que les peuples autochtones, les latino-américains, les asiatiques et les populations d'origine africaine semblent développer la maladie plus que les autres. Une prédisposition génétique, un surplus de poids et le manque d'activité physique contribuent à l'apparition d'un diabète de type 2. Cependant, certaines études tendent à démontrer qu’une alimentation en trop grande quantité et riche en gras pourrait aussi être un facteur de risque.
Le diabète de type 2 est le type le plus sournois. Les symptômes peuvent être minimes et passer inaperçus pendant plusieurs années. Malheureusement, quand il est diagnostiqué, le mal est fait.
En apportant des corrections importantes à nos habitudes de vie, il est possible de retarder l'apparition de la maladie et d'en diminuer l'impact.
Le diabète de grossesse
Le diabète de grossesse se manifeste pendant la grossesse, généralement vers la fin du 2e trimestre et au cours du 3e. Il est aussi connu sous le nom de diabète gestationnel. Dans 90 % des cas, il disparaîtra après l'accouchement.Le diabète gestationnel (4 à 6 % des grossesses) affecte à la fois le bébé et la mère. L'enfant risque d'être plus gros que la normale et risque de faire un diabète plus tard. Chez la mère, la présence du diabète accroît les risques d'infections, augmente le niveau de fatigue et peut causer des complications lors de l'accouchement.
Le diabète de grossesse se traite et se contrôle par une saine alimentation, et l'adoption d'une bonne hygiène de vie. Si, malgré ces changements, le diabète n'est pas bien contrôlé, l'utilisation d'insuline deviendra nécessaire car l’emploi d’antidiabétiques oraux est contre-indiqué lors d’une grossesse.
Les symptômes
Les symptômes du diabète ne se présentent pas tous de la même manière ni avec la même intensité. Qu'il s'agisse du type 1, du type 2 ou du diabète de grossesse, une consultation avec le médecin s’impose. Les symptômes sont :- fatigue, somnolence
- augmentation du volume des urines
- soif intense
- faim exagérée
- amaigrissement
- vision embrouillée
- cicatrisation lente
- infection des organes génitaux
- picotements aux doigts ou aux pieds
- changement de caractère
Prévention et traitement
Outre un dépistage permettant un traitement plus précoce, un régime alimentaire adapté, une augmentation de l'activité physique (baisse de poids), avec une sensibilisation et un programme d'éducation continu peuvent fortement diminuer la prévalence du diabète. C'est ce qu'a notamment montré, selon l'OMS, une expérience chinoise conduite sur six ans au sein d'une population sensible, qui a réduit de près des deux tiers l'apparition de cas de diabète.De telles mesures sont lourdes mais très rentables à long et moyen termes si appliquées à toute une population. Des conséquences secondaires positives concerneront de plus l’obésité, les maladies cardio-vasculaires et certains cancers d'origine socio-environnementale.
Chez les patients ayant déjà développé un diabète, divers moyens existent d'en diminuer les impacts :
- Le traitement précoce de l’hypertension artérielle et de l’hyperlipémie, le contrôle de la glycémie (antidiabétiques oraux pour le diabète de type II et insuline pour le diabète de type I) réduisent les complications et freinent l'évolution vers les formes graves de diabète. La détection et le traitement précoces de la protéinurie limitent ou freinent l'évolution vers l'insuffisance rénale.
- La prévention de l'ulcération des pieds par une éducation et des soins appropriés divise par deux l’incidence des amputations (source OMS).
- Le dépistage et le traitement précoces des rétinopathies évitent nombre de cécités et diminuent les coûts globaux (dont indirects et immatériels) du diabète.
- Une lutte plus efficace contre le tabagisme et l'alcoolisme, facteurs d'aggravation du diabète (hypertension et cardiopathie) est également recommandée par l'OMS.
Méthode de traitement naturel
Depuis un certain temps, avez-vous
noté chez vous certains symptômes inhabituels ?
Par exemple : une sensation de soif
permanente doublée, notamment, d’une sensation de fatigue générale,
de mictions fréquentes et excessives ?
Voilà en fait des signes qui semblent
indiquer la présence d’un trouble diabétique (pour plus de détails,
voyez plus loin).
Mais le diabète n’est pas toujours
facile à détecter. Pour preuve : en France, 1,5 à 2 millions de
personnes souffrent de diabète et de ce nombre, environ 500.000 n’en
savent rien.
Cependant, que vous soyez ou non déjà
au courant de votre problème diabétique, nombreuses sont les
solutions naturelles qui s’offrent à vous, plus spécifiquement dans
le cas du diabète sucré.
Vous souffrez du diabète sucré ?
Le diabète sucré est un mal qui reste
mystérieux, en dépit des nombreuses recherches qui lui sont
consacrées.
Si les causes de cette maladie
auto-immune ne sont pas encore tout à fait déterminées, on sait
toutefois que l’hérédité joue un rôle important : 25% de Français
présentent un gène qui les prédispose au diabète.
Pour ce qui est du 75% restant, une
alimentation déséquilibrée, l’obésité et le stress sont souvent des
facteurs qui en favorisent l’apparition.
(On a souvent constaté que c’est
suite à une épreuve particulièrement difficile qu’un diabète se
déclare !)
Peuvent y être également associés les
facteurs suivants : l’hyperthyroïdie, une activité exagéré de la
partie corticale de la glande surrénale (hypercorticisme surrénal),
une hyperactivité du lobe antérieur de l’hypophyse (hyperactivité
antéhyphisaire), etc.
Pour plus d'informations sur le traitement naturel
Consultez le lien
http://go.657870657274697365323031z2ec636f6e7365696c73.7.1tpe.net
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